Résumé  |  Revue de presse

Ils sont en première année à l'université de Tours, ils ont entre 18 et 25 ans, ils ont choisi d'étudier la philosophie.

Tandis qu'ils travaillent le sujet de leur première dissertation - "Peut-on enseigner la vertu ?" - ils sont confrontés tout à la fois au difficile apprentissage de la réflexion et des textes, aux problèmes quotidiens(le studio, le budget, le linge sale...), à la solitude nouvelle et à l'inquiétude de l'avenir.

Intense comme la vie...
Télérama
"On suit sans jamais s'apppesantir cinq étudiants au rythme d'une dissertation qui se prépare. Ni la philosophie ni son enseignement ne sont le sujet de ce film délicat: ils n'en sont pas non plus le prétexte: plutôt la métaphore d'un apprentissage vital. Le film file drôle, grave intense comme la vie."

Formidable film...
Les Inrocks
"Dans son formidable film, la réalisatrice, avec tact et discrétion laisse les jeunes philosophes s'épancher et enregistre leurs hésitations, leurs difficultés à trouver les mots justes. Ces tentatives maladroites et hilarantes de maîtrise de la parole, ces petites prétentions à dominer les règles de la communication orale, à poduire de la pensée, font tout le prix de ce film."

Une réussite
L'Humanité
"Ce film est une réussite. Tout fonctionne dans une dialectique hyperdynamique. La caméra est légère, elle épouse le tempo d'une réalisatrice qui pense en scènes. C'est cadré, construit, mais si délicatement que cela en devient un bonheur. Un film qui traite subtilement par touches de l'état de la société."

Le spectateur aussi fébrile que les étudiants...
La Croix
"Le documentaire est si réussi qu'à l'heure de la remise des copies - après le passionnant détour commentaires et annotations du prof- le téléspectateur se sent aussi fébrile que les étudiants."

La réalité vaut la fiction...
Le Monde
"Les infortunes de la vertu ressemble aux premiers films d'Eric Rohmer et la vedette, Marion est une autre Béatrice Romand. La réalité vaut la fiction. Cette démonstration vaut une très bonne note. "