Quark Productions

Pleure ma fille, tu pisseras moins

de Pauline Horovitz

Résumé  |  Revue de presse

Tout le monde le sait depuis Simone de Beauvoir, « On ne naît pas femme, on le devient ». Une tragi-comédie sur la construction des genres, en forme d’inventaire à la Prévert : entre éducation et bonnes manières, maquillage, coups de foudre, mariages à répétition et estampes japonaises – sans oublier la recette du sauté de veau.

Prix du public, festival CorsicaDoc 2012
Sélection Traces de Vies
Etoile de la SCAM 2013
A nous de voir, Oullins 2014

" Famille, je vous aime "
TéléObs
" Pour comprendre sa propre féminité et son évolution, Pauline Horovitz dresse ici un autoportrait jubilatoire et baroque. La jeune femme fait intervenir un à un les membres de sa famille, une galerie de portraits pittoresques et tendres. [...] Son film évoque l'enfance, l'adolescence, le temps qui passe. La vie, quoi ! Un petit bijou."

"Réjouissant !"
TéléLoisirs
"Un décryptage cru et drôle de la place de la femme dans la société. Réjouissant !"

Un documentaire de qualité
L'Humanité Dimanche
"[...] Comment devient-on femme ? Munie de sa caméra, elle est allée chercher, auprès de sa famille, une ébauche de réponse à sa question. Une série d'entretiens loufoques à la rencontre de sa petite tribu où la question de l'apprentissage de la féminité par mimétisme ou par injonction est abordée tantôt sérieusement, tantôt avec humour. Un documentaire de qualité qui sort de l'ordinaire. Ça fait du bien."

Décalé et original
Têtu
"Avec pour point de départ le célèbre «On ne nait pas femme, on le devient» de Simone de Beauvoir, la réalisatrice-narratrice questionne sa famille. Parents, frère et sœur, tantes, cousine, nièce... Tout le monde y est passé ! Pendant 52 minutes, Pauline Horovitz met en discussion les statuts de la fille et de la femme dans la société, leur rapport au genre et au sexe opposé. Elle s'interroge, elle qui, enfant (photo), n'a jamais «rêvé d'être une princesse», pas plus qu'elle ne souhaitait «être condamnée à la féminité». «Devenir femme ne m'intéressait pas», déclare-t-elle. Cet autoportrait familial décalé et original est truffé de passages drôles. D'autres nous font au contraire grincer des dents. Comme celui où l'on apprend que la mère de la réalisatrice soupçonnait son ado de fille d'être lesbienne car elle «n'avait pas de vie sociale»."

Avec espièglerie
La Croix
"[...] La collection « Les gars et les filles » atteint son apothéose la semaine suivante (26 janvier), avec le documentaire de Pauline Horovitz. Son titre, Pleure ma fille, tu pisseras moins !, offre la première scène.
La réalisatrice confronte cette expression, entendue enfant, aux confessions de son père, qui ne versa jamais un sanglot, par fidélité à la devise paternelle : « Un garçon ne pleure pas ! »
Avec espièglerie, fantaisie et d’originaux cadrages, la jeune auteure, à l’aube de devenir mère, s’interroge sur la construction de l’identité sexuelle, à partir des témoignages d’une famille de trois enfants dont les parents sont séparés. [...]"

Crédits

Réalisation Pauline Horovitz
Montage Solveig Risacher

Durée 52'
Format 16/9

Avec la participation du CNC
& le soutien de la PROCIREP & de l'ANGOA

© Quark / ARTE France - 2011

Diffusion sur Arte le 26 janvier 2012 dans la collection Les gars et les filles

Voir aussi

Des châteaux en Espagne
de Pauline Horovitz

Des châteaux en Espagne

Peur sur la ville
de Pauline Horovitz

Peur sur la ville
Pleure ma fille, tu pisseras moins